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11/02/2010

Snowmageddon & snoverkill, fevrier 2010

On se mordait les doigts d'avoir raté la tempête historique du 19 décembre, finalement on a été servi.
La Banque Mondiale a été fermée dix jours - dont un ferie certes... ! On revenait des Alpes en pensant se sevrer du régime savoyard... mais tempête étant synonyme d'une accumulation calorique inversement proportionnelle à la dépense énergétique (canapé-lit-canapé), on en a remis une couche sans une once de culpabilité.

Difficile de mettre un pied dehors aujourd'hui... on a tenté l'aventure du supermarché, à 50 mètres de la maison, bien géré. Un mètre de neige ca vous change une ville...!
Quelques photos dans un album pour vous donner une toute petite idée...

 

 

08/02/2010

Alaska

Des mots, toujours des mots... pour une fois ce sera photos - dans l'album créé à cet effet.

Des animaux, beaucoup. Des poilus, des cornus, des joufflus, des gros culs (abus de baies et de saumon - si si les filles, preuves à l'appui, le régime omega 3/fruits, ca donne un cul de grizzly), des moustachus, des qui font la planche...
On est resté poli, on s'est pas imposé pour pas déranger... environment-friendly puisque c'est la tendance, on a fait pipi là où c'était autorisé, mangé des saumons (presque) pêchés par le Dr. F, rangé nos détritus dans le bear canister... à peine laissait-on les trous des piquets de notre tente - orange la tente, parce que notre écolo-attitude ne sacrifie rien à notre hype-attitude.
Sinon, on a marché, beaucoup, pagayé, un peu, campé toujours (= se laver, jamais).
Côté population, il est presque étonnant que les Alaskiens aient voté pour Sarah Palin, rétrospectivement on se dit qu'ils auraient pu choisir bien pire. On peut classer ces gens délicieux en deux catégories, le bucheron/chasseur autiste qui se nourrit de racines et de chèvres, qu'il arrache à mains nues de la gueule des loups ou le consanguin obèse (pourquoi aller chercher sa femme dans le village d'à côté - il fait trop froid pour marcher - quand on a sa soeur ou sa cousine sous le meme toit).

Pour faire court, faune à profusion dans un cadre naturel sans équivalent. Magie du McKinley dégagé au réveil, révérence des orques, salut des loups et déhanché des grizzlys. Incomparable, vraiment.